Le RAEDD, Réseau Africain pour l’Education au Développement, est bel et bien de la partie dans les festivités marquant le démarrage de la COP16 dont l’importance n’est plus à démontrer. Constitué de trois ambassadeurs, le RAEDD a peaufiné sa stratégie consistant à marquer de son empreinte cet évènement dont il est fortement partie prenante. C’est lundi, 2 décembre, que le sommet a quitté la gare, les délégations débarquant dans son village après le périple de plus de dix heures pour le RAEDD qui venait du Cameroun. Voyage palpitant et empreint de convivialité de par les délégations affluant de tous les coins du monde pour la rencontre.
Il est question de réfléchir et d’apporter des réponses appropriées à la menace de la désertification, de la sécheresse et de la dégradation des terres. Qui est au banc des accusés quant au déclin de la nature ? C’est l’homme ; aussi des experts parlent-ils des origines anthropiques de la désolation de la biodiversité. Il faut donc agir, pas demain, maintenant, tout de suite. Pourquoi ? Parce que les prévisions des scientifiques sont alarmantes.
D’abord, le rythme avec lequel les terres se dégradent
est préoccupant, sans oublier qu’elles se dégradent en termes de millions d’hectares
chaque année. Oui, il est grand temps pour mettre fin au phénomène qui mène l’humanité
à la ruine. D’où le puissant thème du sommet : Notre planète, notre
terre. Nous y reviendrons très bientôt pour en dégager les grands enjeux, les défis
et ce qui est attendu des différents acteurs que nous sommes.
27 Nov 2024
05 Dec 2024
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